Franz Bartelt. Je pourrais rivaliser avec Katerine sur le nombre de "J'adore". J'ai découvert ce brillant auteur avec "le jardin du bossu", l'histoire d'un mec de gauche contraint et forcé de ramener du pognon par son épouse au foyer. Préférant la facilité à ses idéaux, il décide de détrousser un gugusse plein aux as et ivre mort. Notre gauchiste va payer très cher son héroisme à deux balles.
Pour démarrer cette saison de Manchette, "Nadada" croque des personnages en quête. D'un style pour le futur biographe peinant avec l'entame, le milieu et la fin. D'un papa pour un enquêteur indé baptisé "Moncheval" au pedigree incertain et potentiellement multiple. D'une maman pour l'assassin dont les sévices sont liés à sa dernière humiliation. De solutions ultra simples pour le flic le plus fainéant que les romans policiers n'ont jamais engendré.
Pour l'inhalation de gaz hilarant, n'oubliez pas ce nom, Bartelt!
mercredi 7 mai 2008
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