MASTER AND COMMANDER
Je ne le sentais pas. Cette adaptation des romans fleuves de Patrick O'brian aux allures de superproduction ne m'inspirait guère. Quel nigaud! Une sacrée erreur de cap!
Le film navigue dans des eaux inattendues. J'avais pressenti une grosse bataille navale sans intêret et je me retrouve touché et totalement submergé par la richesse des thèmes abordés.
Le navire d'Aubrey porte véritablement bien son nom: "surprise".
Morale de cette chronique: attention à nos jugements bateaux
mercredi 9 janvier 2008
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